Immense déluge dont la terre avide
à grandes bouchées s'y noyait de craie
Étendu étalé tu suintais la vie
Il était une fois dans ton monde effacé
Ton tableau vert mes épines rose sang
D'encre que vous dévisagez éberlués
Poésie sirotée d'un trait morceau de pan
Flûtes qui jouent la ballade de la rose née
De ses propres racines elle se pique avec folie
La terre est insatisfaite la terre a besoin
des eaux traîtresses tendrement belles et noircies
Du sang d'encre des poèmes de celle de l'Histoire
celle des petites fleurs, mes roses naïves
qui à l'approche du vent s'y piquent pour rien.
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2 comentarios:
Inmenso diluvio que la tierra ávida tragaba
y que a grandes bocados se ahogaba de tiza
Extendido tirado a la vida apestabas
Érase una vez tu vida borroneada y resbaladiza
Tu pizarrón verde mis espinas rojo sangre
de Tinta que contemplaban soreprendidas
Poesía bebida de un sorbo melodía exsangue
Flautas que tocan la balada de las rosas nacidas.
De sus propias espinas se pican con locura
La Tierra está insatisfecha, la Tierra Necesita
Las Aguas calmamente bellas y ennegrecidas
De la sangre de tinta de los poemas, y el de la Historia
El de las pequeñas rosas, mis flores ingenuas
que al acercarse el Viento se pican sin Fé ni Gloria.
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