martes, 30 de marzo de 2010

Petra Cotes

(I)
Lo dejó escapar, fingiendo la rabia de no volverlo a ver, entre comillas nunca más.

Punto-que-era-coma.

(II)

Sabe que llego la hora de quemar su librito gris en la fogata azul de su caja craneana.

(III)

Respiraba el suspirado sin sospechar que vivia a la par en alguna laguna mental, bien lejos de alli.

Sabia-que-volveria-un-dia, despues-del-diluvio.

domingo, 28 de marzo de 2010

La tête à Julien Sorel

-a Alicia Mendoza, Ali Rabi y Ale Heimer que se quedaron como yo con las ganas de ver cómo Mlle de la Mole enterraba la cabeza de su amante-

Mes amis, la jeune fille que voilà!
Ne regardez pas son visage.
Le bel âge et les beux yeux...
Elle a manqué le bal de sa vie. Et elle le sait.
Il est loin l'étranger bien-aimé,
et pourtant sa pensée fredonne et virevolte.
Elle a reperé qu'on la suit.
Ses beux yeux qu'elle jeta
par la fenêtre de la calèche
sont partis rejoindre le visage enseveli de son amant.
Ce visage horrifié comme une tête-de-lune
Aux yeux en sang de tout ce qu'il a vu
tous deux traînaient entre les roues de fumée
pour finir écrasés avec la boue du chemin
et d'exhaler le même arôme désiré,
de-tes-té des amantes
de l'astre au visage de cimetière des têtes.

Ils roulent-à-jamais
dans le mur
érigé
de
la
destruction
créatrice.