"Ship is leaving right on time
empty harbour wave goodbye"
como es que...?
lloras dientes de sol
y encima de las rocas de humo...
te elevas.
Creo que necesito que no seas mas hermoso de lo que eres ya
Unico habitante de aquel puerto desolado
esto es grave, tu constelacion hoy no te vino a buscar
y me quedare hasta que venga por mi el trueno tornasolado.
labios de papel, silba desa legendaria seguridad...
prestame tu escalera a la luna, regalame aquella serenidad...
(oh como te quiero
como quiero que nos conozcamos
desde los cinco anios!)
Dejame sacarte
una fotografia en negativo
de cuando te sientas y te sientes
en alguna orilla de mis lagunas mentales
tu sagrada ocupacion siempre fue acariciar flores
de tallo rayos de luna como las cicatrices de tu sonrisa
Me voy con mi alforja llena de caricias a las que puedo identificar
por su risa-sol: Sonrie, guardian de giralunas, gracias por la flor de hoy...
dormir y soniar que me fui
y estamos aqui
pero de repente...
Abre tu caja negra antes de que el barco se vaya! Cuidado! Cuidado!
El solo necesitaba respirar para liberarse.
Cuando hablabas con los juncos de la laguna, y te elevabas
no podias creer que el viento te hablaba
Entre tus yemas giran los rayos de luna estiran tus cabellos dorados
Sonrie, lunasol.
hay tanta estrella que curva el espacio hasta que en el agujero negro
bailemos al Cronopio del desierto lunar
el reflejo de la constelacion del caos
Hasta que se curve tu cuerpo solar
Viste al sol y a la luna dejarte arrastrando los barcos que cuidabas
Nunca arrancaste un tallo, viviste acariciando aquellas grises ramas...
por amor a la Tierra te has quedado
Ya todo se ha hundido
Ahora ya puedes volver a casa.
miércoles, 11 de agosto de 2010
lunes, 14 de junio de 2010
sábado, 12 de junio de 2010
le chef desarmé (le soleil ne se lèvera pas demain)
"das sind dann wir nur, nur ich und Du, wir schauen uns im Fallen zu"
Quelque chose sent le rôti
Il y a rien qui fuit l'infini
flics chics, miroir d'eau
oh comment je te réfléchis
flaque glauque comme tes yeux criards
étonnés d'autant de...
fenetre
le Cri du fluorescent: pourquoi?
parce que la friction des pupilles
l'arbre m'appelle au dehors..
Sève, ensevelis!
la musique-robot de mon histoire
le loup qui s'attendrit même de la petite fille
le mortel qui rétrécit comme sa boîte noire
Il sait parler enfant lui
il a les cheveux tenaces
la peau douce.
Paix et sa minute de silence
puisqu'il meurt les dimanches
Sur ma peau ses pupilles roulent.
J'ai du gommer ma table rase
et que tout mon savoir
qui se resumait aux chef des armées,
(au soleil qui ne voulait pas se lever)
nous tombons a duo en spirale
sans sens
dessus-dessous.
(sonnerie philosophie deux heures
suivi de l'histoire geographie)
Le revolver clinquant a fui finalement des mains de De Gaulle
excusez-nous
dit le general
Effectivement
(malgre ce qu'on dira bien ou mal)
le soleil se lèvera
Pascal Pascal
l'absolu des philosophes s'empêtre dans rien
j'ai fini par croire ma table rase dans l'attente de hier
arretez de revasser
sonnerie cahier de texte
pour demain...
Quelque chose sent le rôti
Il y a rien qui fuit l'infini
flics chics, miroir d'eau
oh comment je te réfléchis
flaque glauque comme tes yeux criards
étonnés d'autant de...
fenetre
le Cri du fluorescent: pourquoi?
parce que la friction des pupilles
l'arbre m'appelle au dehors..
Sève, ensevelis!
la musique-robot de mon histoire
le loup qui s'attendrit même de la petite fille
le mortel qui rétrécit comme sa boîte noire
Il sait parler enfant lui
il a les cheveux tenaces
la peau douce.
Paix et sa minute de silence
puisqu'il meurt les dimanches
Sur ma peau ses pupilles roulent.
J'ai du gommer ma table rase
et que tout mon savoir
qui se resumait aux chef des armées,
(au soleil qui ne voulait pas se lever)
nous tombons a duo en spirale
sans sens
dessus-dessous.
(sonnerie philosophie deux heures
suivi de l'histoire geographie)
Le revolver clinquant a fui finalement des mains de De Gaulle
excusez-nous
dit le general
Effectivement
(malgre ce qu'on dira bien ou mal)
le soleil se lèvera
Pascal Pascal
l'absolu des philosophes s'empêtre dans rien
j'ai fini par croire ma table rase dans l'attente de hier
arretez de revasser
sonnerie cahier de texte
pour demain...
Símil Sublime
Voile, tu bois le blé
qui voit- le- gui,
Petit enfant qui aime les cailloux, les nuages
souris
au vide (elle t'aime).
Mon enfant interieur en a toujours eu
[oui, le presage!
de tes boucles lentes...
le sens vers le sens:
Lacune mentale
explosion!
Image comme un
sage
la haine aime l'amour, Clov:
souris.
qui voit- le- gui,
Petit enfant qui aime les cailloux, les nuages
souris
au vide (elle t'aime).
Mon enfant interieur en a toujours eu
[oui, le presage!
de tes boucles lentes...
le sens vers le sens:
Lacune mentale
explosion!
Image comme un
sage
la haine aime l'amour, Clov:
souris.
martes, 30 de marzo de 2010
Petra Cotes
(I)
Lo dejó escapar, fingiendo la rabia de no volverlo a ver, entre comillas nunca más.
Punto-que-era-coma.
(II)
Sabe que llego la hora de quemar su librito gris en la fogata azul de su caja craneana.
(III)
Respiraba el suspirado sin sospechar que vivia a la par en alguna laguna mental, bien lejos de alli.
Sabia-que-volveria-un-dia, despues-del-diluvio.
Lo dejó escapar, fingiendo la rabia de no volverlo a ver, entre comillas nunca más.
Punto-que-era-coma.
(II)
Sabe que llego la hora de quemar su librito gris en la fogata azul de su caja craneana.
(III)
Respiraba el suspirado sin sospechar que vivia a la par en alguna laguna mental, bien lejos de alli.
Sabia-que-volveria-un-dia, despues-del-diluvio.
domingo, 28 de marzo de 2010
La tête à Julien Sorel
-a Alicia Mendoza, Ali Rabi y Ale Heimer que se quedaron como yo con las ganas de ver cómo Mlle de la Mole enterraba la cabeza de su amante-
Mes amis, la jeune fille que voilà!
Ne regardez pas son visage.
Le bel âge et les beux yeux...
Elle a manqué le bal de sa vie. Et elle le sait.
Il est loin l'étranger bien-aimé,
et pourtant sa pensée fredonne et virevolte.
Elle a reperé qu'on la suit.
Ses beux yeux qu'elle jeta
par la fenêtre de la calèche
sont partis rejoindre le visage enseveli de son amant.
Ce visage horrifié comme une tête-de-lune
Aux yeux en sang de tout ce qu'il a vu
tous deux traînaient entre les roues de fumée
pour finir écrasés avec la boue du chemin
et d'exhaler le même arôme désiré,
de-tes-té des amantes
de l'astre au visage de cimetière des têtes.
Ils roulent-à-jamais
dans le mur
érigé
de
la
destruction
créatrice.
Mes amis, la jeune fille que voilà!
Ne regardez pas son visage.
Le bel âge et les beux yeux...
Elle a manqué le bal de sa vie. Et elle le sait.
Il est loin l'étranger bien-aimé,
et pourtant sa pensée fredonne et virevolte.
Elle a reperé qu'on la suit.
Ses beux yeux qu'elle jeta
par la fenêtre de la calèche
sont partis rejoindre le visage enseveli de son amant.
Ce visage horrifié comme une tête-de-lune
Aux yeux en sang de tout ce qu'il a vu
tous deux traînaient entre les roues de fumée
pour finir écrasés avec la boue du chemin
et d'exhaler le même arôme désiré,
de-tes-té des amantes
de l'astre au visage de cimetière des têtes.
Ils roulent-à-jamais
dans le mur
érigé
de
la
destruction
créatrice.
jueves, 25 de febrero de 2010
Nudité de la Vérité
"Je le sais bien"
Le désespoir n'a pas d'ailes,
L'amour non plus,
Pas de visage,
Ne parlent pas,
Je ne bouge pas,
Je ne les regarde pas,
Je ne leur parle pas
Mais je suis bien aussi vivant que mon amour et mon désespoir.
P.E.
Le désespoir n'a pas d'ailes,
L'amour non plus,
Pas de visage,
Ne parlent pas,
Je ne bouge pas,
Je ne les regarde pas,
Je ne leur parle pas
Mais je suis bien aussi vivant que mon amour et mon désespoir.
P.E.
domingo, 21 de febrero de 2010
Oeil Oudjat

La porte de ma chambre
s'efface. Il n'y a aucun lieu au monde où je pourrais cacher
mes crimes.
Oui monsieur le professeur...
J'ai une statuette d'Anubis.
Mais il y a Horus qui me hante
il y a ses yeux crevés sur mon iris
et ce qui me fait le plus de mal
ce qu'il se multiplient en milliers de fleur-de-lys.
eh!oeil toi-même...
à jamais mon coeur...mon oeil!
mais au fait, c'était moi qui voulais te noyer
tu sais la meilleure?j'ai peur et je me sens observée
j'ai fini par découvrir la vraie fausseté du monde
ses jeux...et les yeux.
domingo, 14 de febrero de 2010
Fui de la Globalización
Globalización (CharlieNutela)
paparapapaaapa paparapapa
fui zapatero, ahora comerciante
vivo cambiante ante la situación.
fui buen amante ahora errante, porque perdí mi profesión.
brindo por globalización, brindo por globalización, brindo por globalización, brindo por globalización.
GLOBALIZACION, GLOBALIZACION...
paparapapaaapa papapapapa
PARÁ, PARÁ, MIRÁ, MIRÁ
fui zapatero, ahora traficante,
vivo pendiente del justo y del perdón.
comi hamburguesa sin agua en la mesa,
PORQUE PERDÍ...
MI CASA, MI CUERA, MI MINA, MI CIELO,
LA CHACRA, LA RISA, MI VIDA, MI SUELO,
LA SOMBRA, LA LUCHA, EL CANTO Y L´ AURORA,
LA LUNA, EL TIEMPO, LA PAZ, EL MOMENTO
brindo por globalización, brindo por globalización, brindo por globalización, brindo por globalización.
brindo por gabrielita, brindo por ti mamita,
brindo por, brindo por, brindo por, brindo por
TU INSENSATEZ, QUE BIEN SE VE,
LA INSENSATEZ, QUE BIEN TE VES.
brindo por ti mamita
muero al verte herida
brindo por ti querida,
AL VERTE DORMIDA
AL VERTE CONFUNDIDA
AL VERTE DIVIDIDA
(ENTRE EL BIEN Y EL MAL)
__________________________________
le néant qui surgit, aux aguets de l'invasion...(prochainement)
sábado, 16 de enero de 2010
la tour d'Ivoire à Irma en Amsterdam (Seconde partie)
Et maintenant c'est la pipe qui s'est mise à pleurer
des grosses goutes dégoulinant de tabac
On n'a pas eu le temps de parler, disait-il
Tu vois les rêves râlent s'essoufflent
rentré de plein dans un
celui de ma Tour d'Ivoire d'Amsterdam
le chemin les rails autour de la tour
una raie de fer au milieu au premier wagon
c'était mon désespoir qui filait à toute vitesse
se courbait, descendait, remontait
comme les nuages...
comme ton désir de ne pas me faire du mal
et ton baiser au milieu du parking où les marionettes
m'incitaient à parler malgré les klaxons les guitares et les cris
Comment le cynisme peut crier bien bien au milieu
de la pluie de tabac
En realité l'arbre s'enracinait se crampait au désespoir sans fin de la pipe
tout comme moi.
des grosses goutes dégoulinant de tabac
On n'a pas eu le temps de parler, disait-il
Tu vois les rêves râlent s'essoufflent
rentré de plein dans un
celui de ma Tour d'Ivoire d'Amsterdam
le chemin les rails autour de la tour
una raie de fer au milieu au premier wagon
c'était mon désespoir qui filait à toute vitesse
se courbait, descendait, remontait
comme les nuages...
comme ton désir de ne pas me faire du mal
et ton baiser au milieu du parking où les marionettes
m'incitaient à parler malgré les klaxons les guitares et les cris
Comment le cynisme peut crier bien bien au milieu
de la pluie de tabac
En realité l'arbre s'enracinait se crampait au désespoir sans fin de la pipe
tout comme moi.
viernes, 15 de enero de 2010
la tour d'Ivoire à Irma en Amsterdam (première partie)
"In the event that I don't return
please take this message to understand"
J'ouvris le livre. C'était Anna Karénine, Un personnage est sorti:
Levine.
À nouveau je lui dis merci.
Et il s'assoit, il fume une pipe qui n'existe pas
Il sourit.
Je me mets à pleurer je ne lui avais pas vu depuis belle lurette.
Il m'embrassa du regard, il me rassura:
"Le jour où tu auras le plus beau rêve du monde
Ce seront les nuages qui te consoleront
moi depuis le papier
je te sourierai
Je penserai à Freud
à l'injection faite à Irma
et je penserai à toi.
Qui pleureras pendant le chant des mirages
les mirages si sages
les mirages qui na'auront pas fini
de t'anéantir."
please take this message to understand"
J'ouvris le livre. C'était Anna Karénine, Un personnage est sorti:
Levine.
À nouveau je lui dis merci.
Et il s'assoit, il fume une pipe qui n'existe pas
Il sourit.
Je me mets à pleurer je ne lui avais pas vu depuis belle lurette.
Il m'embrassa du regard, il me rassura:
"Le jour où tu auras le plus beau rêve du monde
Ce seront les nuages qui te consoleront
moi depuis le papier
je te sourierai
Je penserai à Freud
à l'injection faite à Irma
et je penserai à toi.
Qui pleureras pendant le chant des mirages
les mirages si sages
les mirages qui na'auront pas fini
de t'anéantir."
jueves, 14 de enero de 2010
la Chanson du Mal Aimé
extrait d'Apollinaire
L'hiver est mort tout enneigé
On a brûlé les ruches blanches
Dans les jardins et les vergers
Les oiseaux chantent sur les branches,
Le printemps clair l'avril léger
Et moi j'ai le coeur aussi gros
Qu'un cul de dame damascène
O mon amour je t'aimais trop
Et maintenant j'ai trop de peine
Les sept épées hors du fourreau
Sept épées de mélancolie
Sans morfil ô claires douleurs
Sont dans ton coeur et la folie
Veut raisonner pour mon malheur
Comment voulez-vous que j'oublie
L'hiver est mort tout enneigé
On a brûlé les ruches blanches
Dans les jardins et les vergers
Les oiseaux chantent sur les branches,
Le printemps clair l'avril léger
Et moi j'ai le coeur aussi gros
Qu'un cul de dame damascène
O mon amour je t'aimais trop
Et maintenant j'ai trop de peine
Les sept épées hors du fourreau
Sept épées de mélancolie
Sans morfil ô claires douleurs
Sont dans ton coeur et la folie
Veut raisonner pour mon malheur
Comment voulez-vous que j'oublie
L'escalier qui mène au Vide
-A lui, celui qui existe dans.ma.tête-
Comment j'adore marcher dans le désir
Désir désir dérisoire
J'aurais voulu te désirer mais je ne peux que marcher
je suis condamnée
Adieu mon capitaine je veux ne plus jamais te voir
je préfère être dure avec ceux qui attendent trop
attention
je t'aime mon capitaine
J'adore le désir
le Capitaine de la Marche
Marcher la route dérisoire
soupir désir de l'Adieu
Au
Re-voir.
Comment j'adore marcher dans le désir
Désir désir dérisoire
J'aurais voulu te désirer mais je ne peux que marcher
je suis condamnée
Adieu mon capitaine je veux ne plus jamais te voir
je préfère être dure avec ceux qui attendent trop
attention
je t'aime mon capitaine
J'adore le désir
le Capitaine de la Marche
Marcher la route dérisoire
soupir désir de l'Adieu
Au
Re-voir.
lunes, 11 de enero de 2010
Hija de la Luna
-A Galista-
Ay ese plato de café
Tu mirada de repente arriba al revés
Flotaba el café en el plato
El rayo de luna un halo de miel
Oh,oh mi plegaria a Natura
y la dulzura de lo agrio porqué gira el placer?
La ventana se tragó a la cuchara
esa que intentaba marear a los cráteres sin sulfurar sin nacer.
Mi cordura estaba perdida
Sin embargo te ví en el centro tan adentro
Vas al concierto nocturno de los geranios errantes?
Mi menor cuerdas de rayos lunares
Solo-te-ví-elevar...
Cuando nosotros, mortales nos atiborrabábamos
Ah, qué buen tiempo era! Ese futuro
de penumbra por que te pusiste a pensar
y tu Madre te regaló la pluma la pluma
y los Hombres las Alas.
Mujer Alada reza por tu Madre
reza por el planeta Mortal
Nuestra perdición está servida en bandeja
Pero sea tu salvación...
El plato de café
Tan cruel
Amén.
Ay ese plato de café
Tu mirada de repente arriba al revés
Flotaba el café en el plato
El rayo de luna un halo de miel
Oh,oh mi plegaria a Natura
y la dulzura de lo agrio porqué gira el placer?
La ventana se tragó a la cuchara
esa que intentaba marear a los cráteres sin sulfurar sin nacer.
Mi cordura estaba perdida
Sin embargo te ví en el centro tan adentro
Vas al concierto nocturno de los geranios errantes?
Mi menor cuerdas de rayos lunares
Solo-te-ví-elevar...
Cuando nosotros, mortales nos atiborrabábamos
Ah, qué buen tiempo era! Ese futuro
de penumbra por que te pusiste a pensar
y tu Madre te regaló la pluma la pluma
y los Hombres las Alas.
Mujer Alada reza por tu Madre
reza por el planeta Mortal
Nuestra perdición está servida en bandeja
Pero sea tu salvación...
El plato de café
Tan cruel
Amén.
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