domingo, 26 de octubre de 2008

Pommes de Chine

Danse et contredanse dans le port
tournent et retournent les poignets
virevoltante superficie des eaux
où discutent de politique les valets
des seigneurs des sceaux des cerveaux
soudain attaqués par des pensées
massacre tuerie et lambeaux
des coeurs inexistants arrachés
tels des pommes de Chine désembarqués du port.

lunes, 20 de octubre de 2008

Plaies ouvertes au paraguayen qui n'a plus de sang!



Quels infâmes ces âmes qui survolent volent et volent encore
Plus fort plus fort la musique
personne ne veut entendre les cris
de la terre qui plonge et replonge dans ses songes éreintés
de ces années où l'enfant sanglote
pupilles larmoyées broyées
esprit errónné
dictée de
ta
tuerie des cochons étoilés ensanglantés
repus.


domingo, 19 de octubre de 2008

Pourquoi?

Pourquoi détruisez vous ma terre sans mal et celle de tant d'autres âmes...qui doivent être en constant voyage en sifflant et chantant et que vous,humains,vous nuisez tant à notre mère terre au point de l'anéantir sous ses larmes!Larmes de soleil qui vous engloutissent qui vous brûlent et vous faira sentir chaque cicatrice qu'elle a souffert pour chaque âme d'arbre envolé en papier monnaie qui s'évapore vers ce ciel gris de smog qui m'empêche de t'atteindre...je suffoque et je tousse je ne te distingue plus alors que je ne veux entendre que ton bonheur se froisser sous les frissons de feuilles qui dansent au clair de lune et aux notes droguantes du vent...et à ma voix végétale,végétale...amour végétal...

viernes, 17 de octubre de 2008

C'est curieux de faire un commentaire composé sur Germinal quand un siècle après le prolétariat en souffre encore...ainsi que la terre...

Vous m'en avertirez bien quand éclatera la Terre...mais oui mais oui...on l'a toujours su
On peut encore attendre un siècle
que la Terre gronde et l'argent se taise et quand la planète ne bougera plus
ah!vous en serez bien contents,animaux que vous êtes
quand les pages des livres vous serviront pour voler,gentilles âmes nues
et les mots vous assèneront sur le crâne,je verrai rouler vos têtes
et du sang s'éparpiller et de la terre de l'avoir bue
tout ce sang argenté,de cette humanité bête
et Zola de rire dans sa tombe il s'échappe et se rue
sur les mots cassés coagulés et traîtres
maudits médits et qui ne volent plus.

jueves, 16 de octubre de 2008

Mais ils sont fous ces humains!

"Quelles querelles entre coeurs écrasés et âmes de poudre!
Revolvers,mes veines,sang
sang,sol et terre
oh le noyau le noyau
du centre de la terre
crie pour pain et eau
noyez ces vers de terre
arrachez le vent des peaux
d'ânes qui veulent plaire!
Ne cherchez plus cette terre sans mal que vous ne trouverez pas
bien dit le refrain:c'est l'instrument de vent qui vous sauvera"